- Yango Démontre L'engagement Envers La Croissance Technologique Et L'autonomisation De L'entrepreneuriat En Afrique Au Forum Ceo Africa 2024
- Yakumanka : Une Épopee Culinaire Peruvienne A Mazagan Beach & Golf Resort
- Western Digital Dévoile Le Disque Dur Avec La Plus Grande Capacité Au Monde À Gitex Africa
- Ucopia By Weblib A Présenté Ses Solutions Wi-Fi De Pointe Au Gitex Africa 2024 Au Maroc
- Saint-Gobain Fête Ses 25 Ans De Présence Au Maroc !
- Mindware A Présenté L'intelligence Artificielle, L'informatique Dématérialisée Et Les Technologies Émergentes Au Gitex Africa
- Lexar Dévoile Les Solutions De Mémoire Les Plus Rapides Au Monde Avec Capacités Massives Au Gitex Africa 2024
- Lancement Officiel Du Projet Menawet
Contrat-Programme
Pour booster le secteur de l'agroalimentaire et garantir les conditions nécessaires à sa compétitivité, un contrat-programme est actuellement en cours de préparation. Axé sur un partenariat public-privé, ce contrat devrait relier la Fenagri à l’État représenté par trois départements ministériels (Agriculture, finances, industrie). En effet, les professionnels veulent lutter contre les obstacles qui freinent l’essor de l’industrie marocaine et surtout son accessibilité sur les marchés de l’exportation. D’autant plus que les produits marocains n’ont rien à envier aux produits fabriqués par les mastodontes internationaux. L’amélioration de cette visibilité passe par la normalisation des produits agricoles qui sera bénéfique à la fois au consommateur, à l’industriel et à l’agriculteur. Les professionnels pointent du doigt la concurrence déloyale de la contrebande et du secteur informel qui, à leurs yeux, compromettent la santé des consommateurs. Aussi, pour remédier à ce phénomène, ils invitent les autorités à revoir la fiscalité (TVA) des produits agricoles destinés à l’industrie agroalimentaire. Après les fruits et légumes lors de la loi de Finances 2016, la Fenagri appelle à la généralisation vers d’autres plantes, de la taxation, non pas du chiffre d’affaires, mais plutôt du différentiel, c'est-à-dire de la valeur ajoutée du secteur, notamment en déduisant le prix d’achat des intrants agricoles.